Une fois n'est pas coutume, cette fois je vous emmène à la rencontre de confiseurs et non pas de chocolatiers ! C'est dans le centre de Bruxelles, à deux pas de la célèbre Grand' place, que je retrouve Sophie Pons, l'une des deux propriétaires de la boutique-atelier papabubble.
J'ai découvert ces jolis bonbons entièrement artisanaux lors du mariage d'amis qui y avaient commandé des bonbons personnalisés pour célébrer leur union. Intéressée par le concept, j'ai eu très envie de découvrir l'équipe et les techniques qui se cachaient derrière.
Le concept
Papabubble a été crée en 2004 à Barcelone. C'est d'ailleurs là-bas que Sophie Pons et Silvana Ospina ont été formées avant d'ouvrir leur boutique il y a cinq ans et demi à Bruxelles. Il existe aujourd'hui près de 35 boutiques dans le monde.
Chez papabubble, on aime innover. C'est pourquoi la boutique propose régulièrement des bonbons aux arômes
novateurs et surprenants ainsi que des créations saisonnières aux designs
exclusifs. Noël, Pâques ou encore la Saint-Valentin sont bien entendu l'occasion de proposer des bonbons à thème.
Sophie m'expliques qu'à Bruxelles, on aime plus qu'ailleurs les arômes de fleurs. Avec Silvana, elles veillent donc à proposer des arômes floraux au printemps: rose, violette, fleur d'oranger et même géranium.
Sophie m'expliques qu'à Bruxelles, on aime plus qu'ailleurs les arômes de fleurs. Avec Silvana, elles veillent donc à proposer des arômes floraux au printemps: rose, violette, fleur d'oranger et même géranium.
En plus de la vente de bonbons en magasin, les confiseuses proposent à leurs clients de concevoir leurs propres bonbons pour des événements, mariages, naissances, cadeaux d'entreprises, etc
Lorsque j'arrive, Sophie et son équipe sont en train de travailler sur une commande de Microsoft: 10 kg de bonbon au goût violette et framboise ! Le logo est d’abord reproduit en grand format avant d'être travaillé à chaud et étiré pour en faire un format réduit.
Le travail est physique ! Il vaut mieux être minimum deux car il faut étirer le sucre à chaud, et le sucre, ça durcit très rapidement !
Pour faire des bonbons, il faut assez peu d'ingrédients: sucre, glucose, colorants et arômes. La cuisson est en revanche très complexe.
Une fois coloré, le sucre est ensuite travaillé à la main puis étiré et coupé en tronçons d'environ quarante centimètres. La régularité est évidemment très important pour avoir des bonbons de calibre identique. Les confiseurs portent des gants car tout ce travail est réalisé à chaud. Un vrai tour de force !
Le jour où j'étais présente, il faisait très chaud et humide à Bruxelles. Il fallait donc régulièrement veiller à rouler les cylindres découpés pour qu'ils restent ronds et qu'ils ne collent pas entre eux.
Etape finale: la découpe ! L'équipe casse les cylindres à l'aide d'un coupe-pâte et d'un plot métallique pour les transformer en petits bonbons. Il parait que c'est la partie qui prend le plus de temps à maitriser!
C'est également le moment du contrôle qualité. Les bonbons mal cassés ou irréguliers sont écartés.
La fabrication artisanale des bonbons
Lorsque j'arrive, Sophie et son équipe sont en train de travailler sur une commande de Microsoft: 10 kg de bonbon au goût violette et framboise ! Le logo est d’abord reproduit en grand format avant d'être travaillé à chaud et étiré pour en faire un format réduit.
Le travail est physique ! Il vaut mieux être minimum deux car il faut étirer le sucre à chaud, et le sucre, ça durcit très rapidement !
Pour faire des bonbons, il faut assez peu d'ingrédients: sucre, glucose, colorants et arômes. La cuisson est en revanche très complexe.
Une fois coloré, le sucre est ensuite travaillé à la main puis étiré et coupé en tronçons d'environ quarante centimètres. La régularité est évidemment très important pour avoir des bonbons de calibre identique. Les confiseurs portent des gants car tout ce travail est réalisé à chaud. Un vrai tour de force !
Le jour où j'étais présente, il faisait très chaud et humide à Bruxelles. Il fallait donc régulièrement veiller à rouler les cylindres découpés pour qu'ils restent ronds et qu'ils ne collent pas entre eux.
Etape finale: la découpe ! L'équipe casse les cylindres à l'aide d'un coupe-pâte et d'un plot métallique pour les transformer en petits bonbons. Il parait que c'est la partie qui prend le plus de temps à maitriser!
C'est également le moment du contrôle qualité. Les bonbons mal cassés ou irréguliers sont écartés.
Contacts
Rue du marché au charbon, 13
1000 Bruxelles
02 324 96 41
brussels@papabubble.be
Mardi au samedi de 11h à 18h30
Dimanche et jours fériés de 12h00 à 17h00
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