J'ai une excellente nouvelle à partager avec vous: j'ai obtenu une bourse du Bureau International de la Jeunesse (BIJ) pour partir rencontrer des artisans chocolatiers québécois à Montréal!
Montréal est une ville que je connais bien et que j'adore! Durant mes études, j’ai en effet eu la chance d'effectuer mon Erasmus à l’Université de Montréal.
Le temps passe vite et ce séjour remonte déjà en 2008 mais, à l'époque, en éternelle gourmande que je suis, j’avais déjà pu constater la grande vivacité et la créativité des chocolatiers et chocolatières québécois.
Les chocolats de Chloé |
Je ne vous apprends rien, la Belgique est la patrie historique du chocolat et, plus particulièrement, de la praline qui y a été inventée. Une grande partie des artisans chocolatiers a recours aux méthodes et ingrédients traditionnels. En tant que belge, formée à la chocolaterie en Belgique, c’est forcément à cette manière de travailler que j’ai été principalement formée.
La manière de travailler le chocolat, les produits glacés et les
confiseries de l’autre côté de l’Atlantique m’intéresse donc énormément.
Je suis donc ravie que le BIJ m'offre l’opportunité de rencontrer plusieurs artisans chocolatiers
québécois afin de réaliser un échange sur les méthodes de travail, produits
utilisés, tendances, goûts appréciés, packaging utilisés, …
L’objectif de ce voyage sera de
comprendre de l’intérieur ce qui anime le chocolat au Québec et
quelle est la différence culturelle entre notre culture du chocolat belge et la
leur.
Durant cet échange, j’aimerais pouvoir comprendre ce que représente le chocolat pour les québécois, quels sont les profils des clients, à quoi sont-ils sensibles, quels sont les goûts, diffèrent-ils de ceux des belges, quelles techniques les chocolatiers utilisent-ils, ont-ils des machines différentes des notres, où achètent-ils leurs matières premières, … Bref, je suis très curieuse!
Durant cet échange, j’aimerais pouvoir comprendre ce que représente le chocolat pour les québécois, quels sont les profils des clients, à quoi sont-ils sensibles, quels sont les goûts, diffèrent-ils de ceux des belges, quelles techniques les chocolatiers utilisent-ils, ont-ils des machines différentes des notres, où achètent-ils leurs matières premières, … Bref, je suis très curieuse!
J’aimerais
également me rendre dans des grandes surfaces afin de prendre connaissance du type de
chocolats qui s’y vend et de son origine. Je pense qu’à ce niveau-là, les
différences de marché et de culture devraient être particulièrement perceptibles.
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